＜p＞Il s’agit d’un dialogue entre le p?re de ≪ moi ≫ (soit l’auteur), sa s?ur, son fr?re et un docteur. Plusieurs cas sont expos?s sur l’application de la loi dont : ≪ Faut-il sauver de la maladie un criminel condamn? ? mort si l’on est m?decin ? ≫ pose ainsi le probl?me du respect des lois et de l’int?r?t collectif.＜/p＞ ＜p＞Cinq autres anecdotes am?neront Diderot ? prendre des positions extr?mes, affirmant que parfois ≪ la loi n’a pas le sens commun ≫ et que ≪ la nature a fait les bonnes lois de toute ?ternit? ≫. Ce qu’il met en cause ici, ce sont les lois iniques qui, au m?pris de tout sens moral, laissent trop souvent des citoyens malhonn?tes impunis et condamnent avec s?v?rit? des innocents. C’est pourquoi Diderot favorise en soci?t? l’homme de bien qui saurait, quand n?cessaire, se mettre au-dessus des lois. Or, le philosophe a conscience des limites de cette proposition id?aliste et se fait chuchoter ? l’oreille par son p?re, ? la fin du texte, qu’il ferait bon vivre dans un lieu o? certains observeraient cette conduite, mais qu’il ne voudrait pas y vivre si tout un chacun s’y donnait le privil?ge de transgresser les lois.＜/p＞画面が切り替わりますので、しばらくお待ち下さい。

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